S'isole...

*Benvolio avait envie d'un peu de solitude aujourd'hui. Il alla donc dans un endroit secret... Enfin pas totalement mais seul quelques uns des Montaigu connaisse ce lieu. Il entra dans une foret et entra dans une sorte de cabane. Là il s'allongea sur le sol, croisant les bras derrière sa tête il se mis à revasser*

*Juliette arrivé tout juste de la fête de Vérone, il était donc assez tard. Elle voulais absolument trouver une endroit où s'isoler et penser à autres choses. Elle essayer de calmer ses larmes mais rien n'y fesait. Elle se souvint d'une cachette dans la foret, là où elle venais étant toute petite... C'est bien le seul souvenir qu'elle à de cette époque. =S En entrant elle vit Benvolio à terre et fut drolement surprise. Que fesait il ici ?*

-Benvolio ??

*Benvolio entendit une voix féminine lui parler. Il ouvrit les yeux et se redressa directement en voyant qu'il s'agissait de Juliette Capulet. Il la regarda dans les yeux, assez surpris lui aussi de la voir là*

-Juliette ? Mais que fais tu ici ?

*Juliette sécha ses larmes et remarqua la marque qu'avait Benvolio sur la joue... souvenir de sa dernière rencontre avec Tybalt apparemment. Elle baissa un peu la tête mais pas trop non plus... Elle ne savais même pas pourquoi elle ne partait pas ce qui, devrai etre logique étant donné qu'il y a un Montaigu devant elle. Mais elle resta là, comme figée.*

-Je voulais... m'isoler... penser à autre chose... Et toi ??

*Benvolio la regarda baisser la tête. Il s'aprocha d'elle et lui remonta le visage pour pouvoir la voir dans les yeux. Il lui fit un petit sourire pour la voir sourire aussi*

-Moi aussi je voulais m'isoler.

*Il remarqua ses larmes*

-Que t'est-il arriver ?

*Juliette regarda Benvolio dans les yeux. Elle voulais pleurer toute les larmes de son corps mais elle essayer de se retenir pour ne pas parraitre trop fillette devant Benvolio. Elle pleure souvent mais là c'était quant même pour une bonne raison qu'elle ne se retint surtout pas de raconter au jeune homme car ce dernier était le meilleur ami à l'homme qui l'a fait pleuré*

-Roméo... il m'a dit qu'il m'aimait et... Je l'ai vu avec une autre femme se disant des "je t'aime"...

*Et là elle fondit en larme, elle se jetta aussitot dans les bras de Benvolio même si c'était un Montaigu*

*Benvolio receptionna donc Juliette dans ses bras. Même si c'était la fille de son ennemi, il réconfortait toujours une jeune femme qui avait de la peine. Sauf les jeunes femmes a qui, lui, il fesait de la peine. Il lui caressa doucement le dos*

-Chut... Ne pense plus à ça Juliette... Roméo est comme tout les autres hommes... C'est pas de sa faute, et ce n'est pas de la tienne non plus... Tout est écrit, c'est ainsi...

*Juliette ne voulais pas y croire, elle n'avais jamais cru à ses préjugé de "tout est écrit", "c'est comme ça et on y peu rien". On peu toujours changer le cour des choses, il suffit de savoir le faire. Mais là Benvolio avait peut etre raison, et si Roméo était vraiment comme les autres hommes ? Et si il lui fesait du mal parce que c'était sa nature ? Rien que de penser ça de Roméo ça lui fesait bizarre. Elle se retira des bras du Montaigu et alla s'assoir sur l'espèce de matela qui était au sol*

*Benvolio te laissa t'eloigner. Il alla s'assoir à coter de toi, passant une main à ton épaule. Il n'aimais pas voir une jolie jeune femme pleurer. Il repassa sa main dans le dos de Juliette pour le caresser et essayer de la consoler... Peut etre en vain.*

-Juliette... Le seul moyen d'oublier un homme n'es pas de se taire ou de s'isoler...

*Juliette regarda Benvolio avec ses yeux encore humide. Elle avait tellement de peine... Ses yeux ne céssaient de se remplir de larme. Mais ce que dit Benvolio l'interessa. Quel était le moyen pour oublier un homme alors ?? Le couvent peut etre xD Mais ça Juliette le refuser catégoriquement. Elle ne voyait pas de solution possible. Elle se remit dans les bras de Benvolio, posant sa tête sur son torse*

-Benvolio... pourquoi es tu aussi gentil envers moi ? Pourquoi veut tu m'aider ?? Je suis une Capulet et malgrès le fait que j'aime ton meilleur ami tu devrai me repousser et me detester...

*Benvolio souria et te serra dans ses bras. Il te caressa toujours le dos et écouta attentivement cette question. Il chercher un petit moment la réponse et puis te la dicta enfin*

-A vrai dire... Je ne sais pas... J'ai toujours voulut aider les jeunes femmes qui avaient de la peine. Alors pourquoi pas toi ? Et puis les Capulets ne sont pas tous mauvais comme ton cousin... Escuse moi de l'exemple mais j'était obliger de le dire...

*Juliette resta dans les bras du fort homme. Elle calmait peu à peu ses grosses larmes. Elle se posait tant de questions sans réponse envers Roméo. Mais elle retrouvait un peu de ce bien-etre, qu'elle ressentait quant Roméo était près d'elle, dans les bras de Benvolio.*

-Pour l'exemple ce n'est pas grave... Il t'as laisser un beau souvenir en plus de ça... =S. Ô Benvolio, si tout les hommes seraient comme toi, il n'y aurais plus de problème.

*BEnvolio perdit une peu de son sourire en entendant ce que Juliette venais de lui dire comme compliment. Surtout qu'il n'était pas si parfait que ça*

-Non ne dis pas ça Juliette. Je ne suis pas si bon que tu le pense. Moi aussi j'ai fait souffrir et moi aussi je peu me montrer en parfait ingrat.

*Juliette leva la tête et regarda Benvolio dans les yeux. Elle avait déjà séché l'a moitié de ses larmes. La jeune femme ne voulais en aucun cas que Benvolio la contredise, elle s'été fixai l'idée que ce jeune homme était bon alors ce serais ainsi.*

-Mais pourtant tu ne le montre pas.

*Benvolio la regarda assez surprsi qu'elle puisse dire ça. Surtout que si lui ne montrait pas qu'il pouvais etre ingrat ça revenais quant même à la même chose que venant de Roméo. Et oui, Juliette à surpris Roméo, s'il n'avais pas été surpris il le lui cacherai encore*

-Roméo ne te montrait pas non plus qu'il disait "je t'aime" a d'autres femmes.

*Juliette entendit la phrase de Benvolio mais ça ne lui fit réellement pas plaisir. Elle lui donna une giffle, décidement elle en donnais a tout le monde ce soir là. Elle recommanca à avoir les larmes aux yeux*

-ME PARLE PLUS DE LUI !!!

*Malgrès qu'elle venais de le frapper elle se remis dans ses bras, la tête fixant le sol et collée au torse du beau chatain*

*Benvolio se pris la giffle et fut surpris que par la suite Juliette revint se coller à lui. Pour la peine il ne dit plus rien, il la garda contre lui la caressant de nouveau pour qu'elle calme ses larmes. Il osa une petite phrase et puis plutot bas*

-Désoler Juliette...

*Juliette leva la tête à Benvolio et le regarda dans les yeux. Elle posa ses mains à ton torse. Tu était désoler... elle l'était aussi. Elle n'aurais pas du te giffler comme elle l'a fais.*

-C'est pas de ta faute...

*Elle le regarda toujours dans les yeux.*

*Benvolio la regarda dans les yeux lui aussi. Ca lui fit bizarre de se retrouver dans une situation comem celle-ci, il avait envie de s'aprocher mais n'osait pas... Oh et puis il ne réfléchit plus et s'approcha doucement du beau visage de Juliette*

*Juliette ne dit toujours rien, son regard était plongé dans celui de Benvolio, le silence reigné dans la cachette mais ce n'était pas un silence comme les autres. Juliette eu vite calmer ses nouvelles larmes. Elle approcha elle aussi son visage*

*Benvolio arriva à quelques millimètre du visage de Juliette, il sentait son doux souffle sur ses lèvres et ça lui fit sourire. Il posa ses lèvres sur celles de la belle jeune femme. Les entre-ouvrant il demanda acces*

*Juliette le laissa faire, sentir ses lèvres contre les celle de Benvolio lui fit tout drole. Elle eu un frisson. Pour elle c'était son premier baiser... Elle entre-ouvrit les lèvres et un beau baiser s'en suivit.*

*Benvolio entendit quelqu'un renterer. Et il s'eu trouvé que c'était Roméo. En l'entendant parler il stoppa le baiser et se leva d'un cou. O.O*

-Roméo ???

*Juliette et Benvolio furent donc stoppés dans leur élan de baiser. Elle tourna le regard vers Roméo, son regard encore rouge des larmes versé tout a l'heure. Puis son regard se tourna ailleur dans la pièce, comme pour ignorer Roméo*